DSK : Un échec de la gauche donnera carte blanche à Sarkozy
Dominique Strauss-Kahn, interrogé ce matin sur France Info, met en garde : " tout deviendra possible pour Nicolas Sarkozy si la gauche réalise un mauvais score dimanche au second tour des élections législatives ".
En ce moment, a-t-il rajouté " Nicolas Sarkozy teste les Français et essaie de voir si tout peut passer "
" Le test va se faire sur le deuxième tour des législatives : ou bien la gauche fait un mauvais score et il s'apercevra qu'il peut tout faire, que tout est possible. Ou bien la gauche fait un relativement bon score et Nicolas Sarkozy est obligé de tenir compte de l'opinion ", a-t-il estimé.
A ses yeux, les électeurs ont "entre les mains les éléments" de ce test. " Si malgré les annonces très dures qui ont été faites" les Français ne se mobilisent pas, " alors Nicolas Sarkozy saura vraiment qu'il a les mains libres et qu'il peut faire ce qu'il veut ", a-t-il prévenu.
Dominique Strauss-Kahn a notamment dénoncé l'absence de coup de pouce au smic, les mesures fiscales et la TVA sociale actuellement à l'étude et dont il a rappelé à nouveau, que c'est "une TVA patronale" qui va "amputer" le pouvoir d'achat des Français sans rendre l'économie plus compétitive.
En ce moment, a-t-il rajouté " Nicolas Sarkozy teste les Français et essaie de voir si tout peut passer "
" Le test va se faire sur le deuxième tour des législatives : ou bien la gauche fait un mauvais score et il s'apercevra qu'il peut tout faire, que tout est possible. Ou bien la gauche fait un relativement bon score et Nicolas Sarkozy est obligé de tenir compte de l'opinion ", a-t-il estimé.
A ses yeux, les électeurs ont "entre les mains les éléments" de ce test. " Si malgré les annonces très dures qui ont été faites" les Français ne se mobilisent pas, " alors Nicolas Sarkozy saura vraiment qu'il a les mains libres et qu'il peut faire ce qu'il veut ", a-t-il prévenu.
Dominique Strauss-Kahn a notamment dénoncé l'absence de coup de pouce au smic, les mesures fiscales et la TVA sociale actuellement à l'étude et dont il a rappelé à nouveau, que c'est "une TVA patronale" qui va "amputer" le pouvoir d'achat des Français sans rendre l'économie plus compétitive.